20 en 2009, 30 en 2010. Et combien en 2011 ? Moins sans doute si la croissance repart, et avec elle l’emploi, grand pourvoyeur de cotisations. Mais, pour l’heure, le déficit de la Sécurité sociale se creuse sans que personne n’en voit vraiment le fond. Le paradoxe de la crise est sans doute dans l’installation des déficits : si en effet, le gouvernement, les experts et bien sûr l’Elysée travaillent aux scénarios de l’après-crise, bien malin qui pourrait dire aujourd’hui ce qu’il faudra faire quand la dépression aura fini de causer des ravages.
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