Immuno-oncologie : Tollys accélère le développement de ses candidats agonistes du TLR3 par voie intraveineuse
Tollys, une société biopharmaceutique qui développe la première immunothérapie anticancéreuse basée sur un agoniste synthétique spécifique du récepteur Toll-Like 3 (TLR3), a annoncé le renouvellement et l’extension d’une collaboration de recherche lancée en 2020 avec une multinationale pharmaceutique, leader dans l’immuno-oncologie. La société annonce également l’accélération et l’élargissement de sa plateforme de R&D portant sur des candidats agonistes du TLR3 pour une administration en intraveineuse et sur des conjugués anticorps-médicaments (ADC – Antibody-Drug-Conjugates ou AOC – Antibody-Oligonucleotide-Conjugates).
Sur la base des données précliniques solides collectées à ce jour sur le TL-532 administré localement, Tollys accélère et élargit ses activités de R&D en interne et en partenariat sur les candidats agonistes du TLR3 conçus pour une administration en intraveineuse et sur les conjugués anticorps-médicaments. La société mène en parallèle plusieurs programmes précliniques utilisant différentes méthodes de vectorisation et de ciblage pour ses candidats agonistes du TLR3. Selon Tollys, le TL-532 est le premier agoniste spécifique du TLR3 chimiquement conjugable qui soit utilisable avec des anticorps et d’autres types de transporteurs.
En accélérant le développement de candidats pour l’administration en intraveineuse, l’entreprise suit les recommandations du board international de MATWIN, accélérateur européen dédié à l’innovation en oncologie, qui a décerné en mai 2021 à Tollys le statut de ‘best-in-class innovation of the year’ pour son agoniste du TLR3.
« Cette collaboration renouvelée et élargie avec une entreprise pharmaceutique vient confirmer le potentiel de nos agonistes du TLR3. Nous sommes également impatients de faire progresser nos programmes de R&D pour la sélection de candidats pouvant être administrés par voie intraveineuse. Avec une administration intraveineuse plutôt que locale, beaucoup plus de patients pourraient bénéficier de ce traitement basé sur des agonistes du TLR3 », souligne Vincent Charlon, directeur général de Tollys.
Source et visuel : Tollys