Journée européenne de psychothérapie en psychosomatique
Le samedi 22 novembre 2014, le Centre international de Psychosomatique (CIPS) organise la Journée européenne de psychothérapie en psychosomatique.
Journée européenne de psychothérapie en psychosomatique
Amphi POLO – Faculté de Médecine PARIS DESCARTES –
45 rue des Saints-Pères, PARIS 6e.
Samedi 22 novembre 2014, de 9h à 18h, professeurs et chercheurs européens interviendront sur cette question. Cette journée est ouverte à tout public, en collaboration avec les Universités de Paris V, Amiens, Liège (Belgique) et Palerme (Italie).
Les professeurs Sami-Ali, directeur scientifique du CIPS, Laurent Schmitt, chef du Pôle de Psychiatrie des Hôpitaux de Toulouse, Maurice Corcos, chef du département de psychiatrie de l’adolescent et du jeune adulte de la Mutualité Monsouris ; les docteurs Adèle Bucalo Triglia, psychiatre et psychothérapeute en psychosomatique, responsable scientifique du département du CIPS en Italie, Maurice Bensoussan, psychiatre, psychothérapeute en psychosomatique, Daniel Sibony, psychiatre et psychothérapeute en psychosomatique et Jérôme Englebert, Maître de conférence à l’Université de Liège ; Sylvie Cady, psychosomaticienne et directrice du CIPS, membre de l’European Association for Psychotherapy et Leïla Al Husseini, psychologue, psychosomaticienne et Art- thérapeute en psychosomatique relationnelle, seront présents à cette occasion.
L’objectif de cette troisième journée européenne est d’échanger sur les travaux et recherches en psychosomatique réalisés en Europe. Le CIPS, qui développe et enseigne la psychosomatique depuis 26 ans, est aujourd’hui présent dans 8 pays d’Europe et 14 dans le monde. Il organise régulièrement des colloques internationaux sur le sujet.
Zoom sur la psychosomatique relationnelle
La psychosomatique relationnelle se définit ici par le lien entre le psychique et le soma-tique pris dans la relation. En effet, le fait psychosomatique le plus simple, c’est la relation. Ainsi tout au long de sa vie le sujet est en relation, c’est dans cette continuité temporelle que s’effectuent des conflits, qui peuvent être solubles ou insolubles dans le cas de l’impasse. Ils sont les facteurs déterminants de la pathologie somatique. Cela donne tout un ensemble d’expression allant des symptômes les plus banals aux pathologies les plus graves. Le fonctionnement du sujet rend compte de deux réalités, le réel et l’imaginaire qui, au-delà de leurs combinaisons, n’en laissent pas moins apparaître le sujet dans une unité de fonctionnement qui peut être soumis à des conflits solubles ou insolubles (qui renvoient à une situation d’impasse).
Contact : CIPS – Journée européenne de psychothérapie en psychosomatique