Merck et l’Institut national du cancer s’associent pour favoriser l’accès précoce aux molécules innovantes
Merck vient d’annoncer la signature d’un accord de partenariat avec l’Institut national du cancer (INCa). L’objectif est d’évaluer, au cours d’essais cliniques de phase précoce (phases I-II) à promotion académique, quatre molécules développées par Merck, qui n’ont à ce jour pas fait l’objet d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) dans les indications concernées par ces recherches.
Conformément aux Plans cancer – dont l’une des premières ambitions a été de guérir de plus en plus de personnes malades en favorisant les diagnostics précoces grâce au dépistage – l’INCa a labellisé depuis 2010 des centres d’essais cliniques de phase précoce dépendant d’établissements de santé : les « CLIP2 » (Centres Labellisés INCa de Phase Précoce).
Grâce aux molécules innovantes développées par Merck qui seront gracieusement fournies aux CLIP2 (M3814-Peposertib / M6620-Berzosertib / Tepotinib / M1774), ces derniers pourront mener, suite à un appel à projets lancé par l’INCa, des essais cliniques de phase précoce de phases I-II qui porteront sur ces molécules innovantes dans le domaine de la cancérologie.
“En collaborant avec l’INCa, nous donnons la possibilité aux CLIP2, d’avoir un accès précoce à quatre de nos molécules afin de favoriser la recherche académique et l’accès à l’innovation thérapeutique. L’accès à des traitements efficaces pour les patients atteints de cancer est une nécessité, en particulier pour ceux atteints de cancers difficiles à traiter, avec peu d’alternatives thérapeutiques. Les équipes Merck sont plus que jamais déterminées et se mobilisent une fois de plus dans ce combat contre le cancer à travers ce partenariat.” conclut Thierry Hulot, Président de Merck France.
Source et visuel : Merck