Onxeo reçoit le second versement du financement du programme Livatag®
Onxeo, la société spécialisée dans le développement de médicaments orphelins en oncologie, a annoncé avoir reçu le deuxième versement de 1,25 M€ par BPIFrance (ex OSEO) dans le cadre du financement du consortium NICE (Nano Innovation for Cancer).
NICE est le premier consortium ayant l’objectif est d’établir une filière de nanomédecine en France, et plus particulièrement axée sur la caractérisation et l’industrialisation des procédés de fabrication spécifiques aux nanomédicaments. Constitué de 5 partenaires (publics et privés) et mené par Onxeo en tant que Chef de file, le consortium NICE regroupe des sociétés qui détiennent toutes un savoir-faire unique dans le domaine des nanomédicaments. Il s’agit de construire une véritable plateforme d’accélération du développement et de l’industrialisation des nanomédicaments.
Aux côtés d’Onxeo, NICE regroupe également la société Nanobiotix, qui développe NBTXR3, potentialisateur de la radiothérapie dans le traitement local du cancer ; le CEA-Leti, qui développe la technologie nanolipidique Lipidots® ; la société DBI, société spécialisée dans la fabrication de produits pharmaceutiques et possédant un savoir-faire spécifique sur les nanomédicaments et l’Institut Galien Paris-Sud (Université Paris-Sud/CNRS), équipe académique d’excellence spécialisée dans la recherche sur les nanoparticules.
En juillet 2013, NICE a obtenu un financement de près de 9 M€ de BPIFrance, dont 4,3M€ attribués directement à Onxeo et payables sur 5 ans. Ce financement est consacré au développement industriel de Livatag® (doxorubicine Transdrug™). Aujourd’hui, la société a reçu le deuxième versement de 1,25 M€, basé sur l’avancement du programme Livatag® selon le calendrier prévu.
Livatag®, une doxorubicine nanoparticulaire, est l’un des programmes les plus prometteurs du portefeuille d’Onxeo. Développé pour le traitement du cancer primitif du foie, qui représente un fort besoin médical non satisfait, Livatag® est actuellement en phase III de son développement clinique et la société prévoit une fin d’étude en 2016.
Source : Onxeo