Cancer du poumon : un test sanguin pour dépister les signes précoces
Dans une étude publiée dans la revue Plos One, une équipe de chercheurs du centre hospitalier universitaire de Nice et du centre de recherche de l’Inserm de l’université de Nice Sophia-Antipolis montre qu’il est possible de détecter, chez des patients à risque de développer un cancer du poumon, des signes précoces, sous forme de cellules cancéreuses circulantes plusieurs mois et dans certains cas plusieurs années avant que le cancer ne devienne détectable par scanner.
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